Gouvernance participative
La réussite de notre université passe par une gouvernance participative.
Notre projet prévoit la mise en place d’une gestion collégiale, où toutes les parties prenantes — étudiants, personnels, partenaires sociaux, collectivités locales — sont impliquées dans les décisions stratégiques.
Il est fondamental que les composantes et laboratoires de recherche soient écoutés et entendus s’agissant des décisions qui les engagent.
Chacun doit bénéfier de la reconnaissance qui lui est due pour son implication dans la communauté universitaire.
La transparence sera un pilier de notre action. Chaque décision, chaque action fera l’objet de consultations et de discussions avec les parties prenantes. Chaque décision sera communiquée en toute transparence, et les résultats seront partagés avec l’ensemble de la communauté universitaire. Nous construirons de cette façon une relation de confiance, essentielle pour le succès de notre projet commun.
- Modèle de gouvernance collégiale : instaurer une gouvernance plus participative qui implique toutes les parties prenantes (étudiants, personnels, partenaires sociaux, collectivités locales, composantes, laboratoires) dans les décisions stratégiques. Cela renforcera le sentiment d’appartenance et l’efficacité de l’université.
- Rediscuter avec les différents partenaires la question de la centralisation des directions, et des prérogatives données à chaque composante de l’université.
- Transparence et responsabilité : assurer une gestion transparente des ressources et des projets, avec une participation de la communauté à la prise de décision et une communication claire des objectifs et des résultats, pour établir une relation de confiance avec l’ensemble de la communauté universitaire.
- Rééquilibrer le budget de l’université, qui est un impératif à court-moyen terme et impliquant des choix collectifs.
- Une gestion des ressources humaines plus proche du terrain et reconnaissant à chacun ses apports.
- Une décentralisation des moyens et des décisions pour que tous les arbitrages ne soient pas faits au niveau central et que les composantes puissent elles aussi recruter des personnels administratifs.